Nom:: Fournier
Prénom:: Francis
Age:: 17 ans
Description physique:: Je suis... masculin!! J'ai de superbe cheveux blond et des yeux bleus. Je porte mes cheveux aux oreilles. Je suis assez grand, mais pas comme un géant de 3 mètres de haut! Je suis aussi pas mal musclé et plutot sexy. Bien bati, je suis de taille moyenne et je mesure 6pi. Mon visage exprime la plupart du temps de la mélancolie du à mon triste passé.
Caractère:: Je suis un jeune homme rebel (tu comprendras tout en lisant mon histoire). Je ne fais pas vraiment confiance aux autres... Par contre, lorsque quelqu'un réussit à la gagner, je suis moins agressif envers cette personne et je la laisse m'approcher. Je suis aussi pas mal bagareur, ce qui explique mes puissants muscles. Pour la plupart des gens qui m'entour, je suis un gars renfermé qui n'aime personne et qui je désire pas être aimé,mais, au fond, j'ai un coeur comme tout le monde, seulement, cela ne se vois pas toujours...
Histoire:: Au départ, nous étions 7 dans la famille, ma mère, mon père, moi, l'ainé, ma soeur qui aurait 16 ans aujourd'hui, 2 jumeaux de 10 ans et la cadette, 5 ans. Ma mère ne travaillait pas, elle restait à la maison pour s'occuper de la plus jeune. Tout allait bien dans notre vie jusqu'au jour ou mon père fut renvoyé. C'est ici que mon histoire commence.
Lorsque mon père nous a annoncé son renvoie, une panique s'empara de la famille. Qui allait nous faire survivre maintenant? C'est alors que le père commença à boire et à battre ma mère. Pour défouler toute sa rage, celle-ci commença à nous battre, nous, ses propres enfants. Nous vivimes dans la pauvreté et la misère. La cadette fut prise d'une étrange maladie que nous ne pouvions faire guérir a cause du manque d'argent. C'est ici que les malheurs commencèrent concrètement. La petite mourut quelques temps plus tard, en hiver, à cause du froid mordant et de sa maladie. La famille en fut toute secouée. Mais ça n'empêcha pas mon père de battre ma mère et nous, et ma mère, de nous battre, faute de force et de courage pour affronter mon père.
Quelques temps plus tard, ce fut au tour des jumeaux. Les jeunes, si solidaire, s'entraidaient toujours, peut importe la situation. Lorsqu'un des parents en battait un, l'autre frère se portait immédiatement à la rescousse de sa moitié. Malheureusement, cela donna une double perte. Un jour que le père était saoul à un point innimaginable, il commença à battre le premier qui lui tomba sous la main. Ce fut l'un des deux inséparables. Cette bataille dura quelques secondes avant que le second vint donner un cou de main à son frère jumeau. La mère, voyant cela et ne voulant pas subir les sévices de son mari, se porta à la rescousse de notre père. Ce fut une vraie lutte pour la survie. Bien sûr, je prêtais main-forte à mes jeunes frères, ainsi que ma soeur. Mais nos parents étant plus forts et ma mère, armée d'un couteau de cuisine, non, de boucher, frappait de toute ses forces les jumeaux. Si bien qu'à un moment donné, la bataille fut comme suspendue. On remarqua que les petits ne bougeaient plus. C'en était fini de leur pauvre et misérable vie dans ce bas monde. Les petits se sont entraider jusqu'à la fin: même dans leur mort, ils se tenaient encore les mains.
Plusieurs mois passèrent. Ma soeur et moi, à l'exemple des défunts jumeaux, s'entraidîmes du mieux que l'on pouvait. Ma mère avait bien heureusement, peur de moi et de ma force. Elle n'osait pas s'opposer directement à mi. Par contre, elle battait ma soeur pour deux, seulement quand je n'étais pas là. J'essayais de toujours rester avec ma soeur. Un jour que, malheureusement, j'étais parti faire des comissions en ville pour mon père, je revint à la maison et là, je voue ma mère qui cuisinait. Elle avait un gos chaudron d'eau bouillante qu'elle voulait jetter par la fenêtre. Malheureusement, ma mère vit ma soeur qui était dans la cuisine et lui déversa le chaudron d'eau bouillante sur le dos. Le terrible cri de douleur m'a sorti de ma torpeur. Je me ruai sur ma mère, mais mon père fut plus vite que moi. Il m'assenna de puissants coups de poinds au visage. Ma soeur était aller chercher de la glace pour son dos. Ma mère l'a vu et empoigna son couteau de cuisine qu'elle lança vers ma pauvre soeur. Je la tirai par en arrière, lui évitant d'être transpercer par la lame. Depuis ce jour, je la prit en charge, la soignant du mieu que je pus, faisant mon possible pour elle. Je ne la laissait jamais seule. Même à l'heure du coucher, nous restions ensemble. Il n' eut aucun autre accident de ce genre durant presque 2 mois. Ma soeur avait le dos tout ''défigurer'' à cause de l'eau bouillante. Elle ne pouvait dormir sur le dos. Elle dormais sur le ventre, collée contre moi. Un matin, je me levai et remarquai qu'elle ne me serrais plus contre elle. Je la regardai et la vit couchée sur le dos! Tout de suite, je sus qu'il y avait quelque chose d'anormal. Je l'examinait et trouvait des traces de doigts creusant sa chair dans son cou. On l'avait étranglée! Ma soeur était morte! Cette révélation me fit l'effet un drôle d'effet. Le soir d'avant, elle et moi avions prévu de nous nfuir de notre maison. Maintenant, je ferais cette fuite seul. Sans ma soeur. Sans les jumeaux. Sans l'autre petite. Seul. Comprenant que mes parents pouvaient me tuer moi aussi n'importe quand, j'ouvris ma fenêtre et me laissai tombé. Et je parti de chez moi.
Durant plusieurs jours, j'errai ici-et-là. Je volais pour survivre. Eh puis, je me retrouvai comme par hasard ici, au collège St-Emra. Je remarquai que je n'avais aps assez d'argent pour payer mes études au collège, mais j'eu l'aide de je ne sais trop qui au gouvernement. Je remercie cette eprsonne charitable qui me permet de tout oublier et de recommencer une nouvelle vie, même si je sais que j'ai des séquelles qui ne dispraîtront jamais. Je revois encore la nuit ma toute petite soeur, morte dans ses haillons l'hiver. Je revois en mémoir les jumeaux, se enant encore les mains dans leur mort. Et ma soeur. Ébouillantée, puis étranglée. Je suis parti à temps pour ne pas avoir à subir ces tortures. Mais je me demande parfois si la mort n'est pas mieux. Je n'aurais plus aucun fantômes de mon passé qui viendrait me hanter...
Rang:: pauvre...
Code de confirmation des règlements:: [Collège]
FINI!!!!Et un gros Sarah Copyright sur l'histoire!
Sam 21 Avr - 18:24
